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Out of love. || Garance


Garance E. Samnang
Lashkala
Mignons petits oisillons ♥
avatar :
Fem!France - APH
crédits :
@Baghera

Messages :
28
Points :
65

Lashkala
Garance E. Samnang


Lun 12 Fév - 8:23
MessageOut of love. ||  Garance Empty
Garance E. Samnang
let your flesh be consumed by desire
Éloquence : 10/10
Séduction : 8/10
Lancer d'aiguilles : 7/10
Dextérité  : 7/10
Intelligence  : 8/10
Négociation : 6/10
FT
Fem!France - APH
nom
de Saugeais Samnang
prénom(s)
Garance Eugénie
pseudo(s)
J'ai mis en place un code précis pour ma Maison. Si vous êtes à la recherche d'une jeune femme, référez-vous à moi en tant que "Big Mama", si vous êtes à la recherche d'un jeune homme, je serais "Lady Gaga" et enfin, si vous n'avez pas de préférence, appelez-moi la 'de Saugeais'. Je saurais comprendre et les choses n'en seront que plus confortables pour tout le monde, dans la discrétion la plus simple et la plus efficace.
âge
33 ans cette année et je suis toujours aussi fraîche, à ce propos.
sexe
Ma poitrine n'est-elle pas suffisamment explicite en ce sens?
nationalité & lieu de vie
Alkar, je vis dans les quartiers un peu huppés de la capitale.
origines
Cerberiath par ma mère, étrangère par mon père.

sexualité
Aerospike; pour faire simple je ne ressens aucun désir sexuel, si ce n'est lors de certaines périodes, de 'piques', si vous préférez.
situation maritale
Mariée et heureuse
situation financière
Très confortable, ma Maison se porte à merveille.

groupe
Civils. Moi ? Faire la guerre ? Toucher à l’alchimie ? Gardez-vous bien de le penser !
rôle
Gérante et propriétaire d’une maison de passe.
rang
5
métier
Ne savez-vous point lire ?
alchimie
Dois-je me répéter ?  

signe(s) distinctif(s)
Ma beauté et ma grâce naturelles ?

que pense ton personnage de l'ancien gouvernement et des soulèvements ?
Je pense que tant que l’argent continue d’affluer et que nul ne fait de mal à mon gagne-pain ou ma famille, tout ira bien. Le succès, c’est aussi de savoir s’adapter.
caractère
L’on peut dire de moi que je ne suis guère femme à me laisser marcher sur les pieds. Ayant été formée à la répartie et à la rhétorique par mon oncle et sa femme, je sais manier les mots de manière à tourner les choses comme je le souhaite. Si je n’atteins la perfection, au moins puis-je affirmer que mon autorité est depuis bien longtemps installée au sein de notre communauté. Tout du moins, auprès de ceux dont les services que je propose se révèlent être plus que nécessaires et/ou appréciables. Mon visage et mes noms font office de sainteté, parfois, dans ce milieu des filles&garçons de joie, bien plus fermés que l’on ne le croit. Ce n’est nullement déplaisant. Je préfère cela que le contraire, je dois dire.

Lorsque j’ai besoin de m’isoler ou de réfléchir posément, je m’enferme dans mon bureau privé, afin de m’assurer que nul ici de viendra me chercher et abaisse au maximum la luminosité. L’obscurité est mon élément de prédilection. Je me sens à mon aise dès les éclats du soleil retombés et ne suis absolument point gênées de devoir traverser les rues à la nuit tombée.

Autre chose ? Hormis une certaine générosité et une dévotion sans faille envers ma patrie, je peux dire que j’adore mes employées et mes amies – ces deux notions ne se confondent points cependant, je sais faire la part des choses. Ces petits évoquent chez moi un sentiment étrange. Je crois qu’il s’agit surtout de mon grand amour maternel. Je ferais tout pour qu’ils et elles se portent le mieux possible, aussi en sécurité que j’aime à me l’imaginer. Pour eux, je serais prête à tuer, bien entendu. Il en va de même pour mes proches amies – très rares – et ma famille.

Nul n’offense ou ne blesse mon mari ou mon enfant sous peine de ne pas avoir le temps de réaliser ce qu’il lui arrive qu’il ou elle ira ratisser le pavé avec les dents. Les aiguilles que je porte, dissimulées sous mes couteux apanages, ne sont pas là que vous maintenir ensemble les multiples couches de tissus. Pas que.
facts
Des gens se sont déjà demandés si ma poitrine était réelle (G cup). Au cas où, oui, elle l'est.
Histoire


Ma mère, Selsha, a accouché de moi à Kerès. Grande dame avec le cœur sur la main, elle se l'était fait un jour dérober par un étranger, à qui elle sut rendre le même charme sans attendre trop. Appréciée pour son tempérament doux et généreux au sein de la ville qu'elle avait toujours voulu protéger, je n'ai guère eu l'occasion de la connaître sous ce jour-ci. Moi, je n'ai pu conjuguer que la femme fatiguée, amoindrie et folle à lier atteinte de crises d'hallucinations toutes plus étranges les unes que les autres.

"Tu lui ressemble tellement!" C'était ça qu'elle me répétait à longueur de journée. A qui, me demanderez-vous peut-être. Mon père. Mensonge. Je ne l'ai jamais rencontré, jamais de la vie. Il a fui avant même ma mise au monde, regrettant très probablement la nuit passé avec ma mère. Il refusait de payer le prix de l'interdit. Tant pis pour lui, je n'ai jamais ressenti de manque ou d'affection particulière pour cette ombre sortie de nulle part et repartie aussi vite qu'un éclat dans le noir. Je refusais de ressembler à une lueur évanescente, déjà à l'aube de mes treize ans. Au moins, j'avais du tempérament. C'était sans doute l'une des rares choses positives de cette putain de vie défraîchie.

*****

"Tu rentres avec nous à la Capitale."
"Mais... On a enterré maman hier..."
"Tu n'es plus une enfant! Lèves toi maintenant où je te fais passer un sale moment!"

Lyndorn, mon oncle. Il était le frère de ma mère et n'avait bien qu'une seule obsession : faire main-basse sur la fortune familiale. Sa femme aussi, d'ailleurs. Mes grands-parents l'ayant déshérité - pour une sombre histoire de corruption, de ce que j'en savais -, le seul moyen qu'il avait à sa disposition pour mettre en forme son plan premier était de me loger et de m'éduquer. En devenant mon tuteur, il accédait légalement à toute la fortune que possédait maman. La pauvre avait été enterrée avec de maigres distinctions. Je me fichais pas mal de tout cet argent, il pouvait bien en faire ce qu'il voulait. De toute manière, on ne me demandait pas mon avis. Alors j'ai suivis le mouvement, bon gré, mal gré. J'ai dit au revoir aux rares choses qui me rattachaient à mon village et c’est en larmes que je fus séparée de mes trop rares amies, nées ici, comme moi.

Ils ne m'ont jamais nommé Eugénie. Pas même une seule fois. Le prénom que m'avait donné ma mère fut remplacé par Garance. Selon eux, il serait bien plus acceptable, par chez eux. A peine avais-je quitté ma ville natale que, déjà, je ne me reconnaissais plus.
*****
J'ai souffert pour arriver là où j'en suis aujourd'hui. Je n'étais jamais assez belle, jamais assez douée ou distinguée pour pouvoir honorer les desseins que mes tuteurs avaient pour moi. Le port d'un corset me fut imposé, pour affiner ma silhouette et charmer le plus de cibles possibles. Parfois, lorsque j'échouais, ma tante prenait soin de le fixer avec les lacets dans mon dos pour mieux le resserrer et faire ne sorte que je le garde toute une nuit durant. Pour 'm'apprendre' les choses, disait-elle. Je la détestais. Je la déteste encore.

Aujourd'hui, je possède la maison close la plus connue de la capitale ; la plus prisée, également. J’ai plusieurs individus sous mon aile. Ils comptent sur moi.
J'aime à croire que j'en suis ici simplement grâce à mes capacités personnelles et rien de plus. Je suis talentueuse, il n'en a jamais été autrement. Ces marchands véreux, si pourris fussent-ils, eurent au moins le mérite de me faire comprendre cela avant de passer l'arme à gauche.

*****

Lorsque j'eus fraîchement 16 ans, je le rencontrais, lui. Veasna. Il était certes n peu plus âgé que moi, mais je n'en avais cure. J'étais tombée en extase devant lui. Autant dire que je fus habitée d'une certaine joie - chose faite rare chez moi depuis mon adoption - lorsqu'il me témoigna autant d'intérêt que j'en avais à son égard.

La première fois que je me donnais à lui, j'étais si heureuse que j'en avais oublié toutes les formalités. J’avais simplement omis que mon contexte familial me retiendrait en cage à chaque fois que je m’essaierais à être un peu libre. La première nuit que nous passâmes ensemble, je ne peux en garder que des effluves en tête puisqu’il me fallut rentrer ‘chez moi’, qui n’avait de familier que le nom ; et encore.

Mais comme si le destin avait déjà tout planifié pour moi, je finis par tomber enceinte.
Il ne restait plus que moi, seule. Seule avec mon chagrin et mes angoisses. Seule avec cette petite chose qui grossissait au-dessus de mes reins. Lorsque Lyndorn et son épouse le découvrir, ils furent furieux contre moi. Je fus sévèrement punie, affamée et fouettée jusqu'à ce que mon dos ne craque sous l'enfer des coups.

Mais je ne sais comment, cette petite vie, qui m’était devenue si précieuse, parvint à survivre à ce traitement infernal. Je me suis enfui un soir qu’ils étaient trop saouls pour m’avoir à l’œil. Puis, errante et couverte d’ecchymoses – les coups n’avaient pas cessés avec les mois -, je suis allé rejoindre Veasna, à l’adresse que j’avais retenue, quelques mois plus tôt.

Très honnêtement, je m’attendais à me faire refouler – et c’aurait été légitime, après tout j’avais disparu de sa vie comme j’y étais arrivé, comme un courant d’air. Mais il n’en fut rien. Il m’a reconnue, accueillie malgré mes cheveux sales et mon apparence souillée, dégoutante. Je me vidais de mes larmes chez lui, lui promettant que je lui rendrais la pareille dès lors que j’aurais su trouver un toit où rester avec… l’enfant. Mais il m’a gardé chez lui. Je ne lui devais rien.

Je crois que c’est à cet instant que je suis réellement tombée amoureuse de lui. L’étincelle qui m’avait tant séduite était alors devenue un brasier. Je décidais de rester auprès de lui.

J'accouchais avant d'avoir dix-sept ans. Sous l’émotion, après le travail difficile, je ne retins un sanglot, lequel atterri sur le visage de ma fille. Ma petite fille. Elle était si belle.

J'ai embrassé son front.

*****

Mais devenir une jeune mère ne m’avait pas décidé à l’inactivité, bien au contraire. Ma relation avec Veasna officialisée, je souhaitais faire moi aussi ma part du travail. Je voulais m’investir dans un travail, peu importait lequel. Je devais m’affirmer et m’épanouir. Être femme au foyer ? Jamais de la vie ! Et mon oncle et sa femme m’avait suffisamment habitué au train de vie d’un esclave pour que je ne veuille pas croupir de nouveau dans ce genre d’apparat.

Après de multiples échecs – personne ne voulait embaucher une jeune mère qui viendrait travailler avec son bébé, en plus -, j’ai rencontré Miss Menston. Le teint mat, les cheveux en tresses serrées et un regard de mamba noir. J’ai soutenu ses yeux sombres, même si je dois dire qu’au fond, je n’en menais pas large. Elle accepta de m’embaucher, au départ comme femme de ménage pour sa maison close. Je commençais donc tout en bas de l’échelle.

Et je n’étais pas dupe, je savais qu’elle trouvait toujours à redire sur mon travail pour me pousser dans mes retranchements et me faire partir. Sauf que je me suis accrochée, sans relâche. Je rendais mon travail toujours plus impeccable, toujours moins cassable. Et au bout de six mois d’intense labeur, j’avais enfin obtenu ses faveurs.

Elle me proposa de me prendre sous son aile. N’ayant pas d’enfant – et ne désirant pas en avoir -, il lui fallait quelqu’un pour reprendre la Maison lorsque la maladie qui la rongeait en aurait fini avec elle. Du même coup, je commençais à m’attacher à cette illustre garce d’employeuse qui ne l’était pas tant que cela, au fond.

Au moment où mon acceptation passa mes lèvres, je fus éduquée à devenir une future tenancière de maison. Et pour la première fois, les restes d’éducation de mon oncle et sa compagne me furent un minimum utile. Je savais me tenir droite, être élégante et doser mon discours. Ces qualités furent affinées auprès de Miss Menston, qui m’apprit du même coup à me vêtir convenablement, me maquiller comme une dame et surtout, à gérer un commerce des corps qui s’avérait être autrement plus compliqué que ce que l’on peut se figurer.

Mais je tins bon. Et je réussis cet exploit.

Pendant bien cinq ans je fus sous la tutelle de Miss Menston, jusqu’à ce qu’elle s’écroule d’épuisement au milieu du grand salon. Le médecin fut dépêché en urgence mais il était déjà trop tard, elle s’éteignit moins d’une heure après, dans le lit où j’avais ordonné qu’on la couche. J’avais rarement autant pleuré que ce jour-là, pour la perte de cette femme qui, mine de rien, était devenue un véritable repère maternelle, pour moi, à cette époque.

Je repris donc en main la maison, y apportant tout mon soutien.

*****

Un jour, on vint me trouver pour m’annoncer que mon oncle et sa femme avait été tués chez eux. Quoi que massacrés aurait peut-être été un terme plus convenable.

Les hommes venus me voir avait apparemment eut fort à faire pour me mettre la main dessus – il est vrai que j’avais un peu disparue de chez eux des années auparavant. Mais quoi qu’il en fut-ce, leur héritage était désormais mien, puisqu’ils n’avaient ni enfant ni autre famille proche. Je dus me concentrer pour ne pas jubiler de toutes mes dents. Qu’ils soient morts ne m’avait fait ni chaud ni froid. Au contraire.

Je me débarrassais rapidement des formalités – pas de tombes gravées pour eux, ils iraient en fosse commune – et entreprit de grands travaux pour la maison La Fleur Blanche, avec leur argent. Une pensée émue à ma ‘tante’ qui s’en serait retourné le cou, pieuse comme elle prétendait l’être, de savoir que ses finances allaient alimenter une maison de passe.

Oui, mais pas n’importe laquelle. J’ai fait installer des baignoires, me suis offert les services réguliers d’un médecin pour examiner mes employés, les nourris et les dorlote afin qu’ils puissent tous se sentir en sécurité. Je suis à la tête de la plus couteuse des maisons des plaisirs de la ville, certes. Mais c’est aussi la meilleure. Et je ne lésine pas sur la qualité de mes services. Si n’importe qui pouvaient s’offrir une nuit avec l’un de mes garçons ou l’une de mes filles, qu’en serait-il de ma réputation et de celle de ma maison ? Peu de choses, voici qui nous accorde.

Voici des années maintenant que j’exerce mon métier et je dois dire que j’en suis plus que satisfaite. Ma vie me plaît telle qu’elle est.


Baghera • 26 ans • a whore for fma #alphonseforever

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Votre Dieu
La Vérité


Lun 12 Fév - 23:12
MessageOut of love. ||  Garance Empty
Ohlala
c'est que tu as oublié ta pilule !
Il semblerait que Garance ait oublié sa pilule du lendemain. heybaby

Plus sérieusement, je viens de terminer la lecture de ta fiche, et la première chose qui me marque c'est ces aiguilles démoniaques que possède Garance, elle qui semble être une femme raffinée, je ne dirais pas douce, mais qui se comporte comme une femme de la haute - très haute société - mais qui peut t'agresser avec ses armes. Elle a un sacrée caractère, certainement dû à son passé difficile et ses malheurs (de sophie) si je peux dire cela. J'apprécie sa détermination, elle est forte même si on ressent une certaine sensibilité dans le personnage.

Et puis, adoratrice de drama que je suis, je n'ai pu qu'apprécier la lecture, malgré mon blocage sur le Perseus, au début, je me disais "woa, elle accouche sur lui, de lui ? Je ne comprends pas", d'ailleurs, tu as bien dû le remarquer, quand je suis venue te le dire sur la CB. Garance est une femme que je trouve intéressante et dont j'aimerais connaître son développement, qui me semble tout à fait intéressant, à vrai dire.

Surtout qu'elle est badass avec des aiguilles, des aiguilles, help. J'imagine tellement Garance sortir ses aiguilles et que la personne s'évanouisse de peur, vraiment, je suis une personne autant fascinée qu'effrayée par ces petites choses qu'elles sont. C'est vraiment une arme, une arme je vous dis.  youdie

Bref, reprenons, cet amour dont tu parles avec son mari est touchant, il semble être un pilier important dans sa vie, tout comme sa mère de coeur, c'est quelque chose que je trouve émouvant et la dramaqueen que je suis aime ça. #dramaforever. De plus, malgré l’abondance de mort, elle sait rester sur ses deux jambes et continuer de l'avant, vraiment, j'aime bien ce personnage - qui est aussi la première validation du forum, notons le, c'est super important pour nous, le staff. Garance sait qu'elle est grande, forte, belle. Ahh il me tarde vraiment de te voir faire vivre ton personnage ici, je suis comblée par la joie.

hell

Cependant, je reste un peu perplexe par les origines de son père, car le pays est en guerre depuis des années et des années, après, elle ne le connait simplement pas, c'était peut-être un homme lambda, alors je ne vais trop rien dire.

Sinon, je te souhaite la bienvenue sur Acclamatis avec énormément de joie, je t'invite à faire le tour des réseaux sociaux, des fiches de liens et des demandes de rp, si tu as des questions, n'hésites pas à venir me voir en Mp.

Je te fais des bisous.
hughesfdj  hughesfdj
colgate
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