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le silence éternel de ces espaces infinis


Duolo
Cerbèriath
holà chicas
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Cerbèriath
Duolo


Mer 14 Fév - 23:31
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monitum volo




son identité reste inconnue, ils l'appellent duolo. c'est un homme à la peau sombre d'une trentaine d'années. alkarien de naissance, il vit à cerberiath, où il est né, et dont il est partisan. veuf et père d'un fils unique, sa richesse est aussi considérable que discrète. il dirige le marché noir d'une main inflexible depuis plusieurs années et personne n'a jamais vu son visage. feutré, il est tenu au silence sur ses opinions politiques.
DISSIMULATION : 10/10
ARME BLANCHE : 8/10
SOCIABILITÉ : 1/10
INTIMIDATION : 7/10
NÉGOCIATION  : 7/10
STRATÉGIE  : 6/10
il porte un masque - il hait l'alchimie - excellent bretteur - ne quitte pas ses sabres - ne traite pas la marchandise - méfiant avec les étrangers



La terre infertile, le silence et la fournaise. L'impossibilité de la pluie, du plein et de la douceur. Même l'ombre y brûle, et la chaleur est une leçon, et l'étuve écrase tout mouvement du coeur. Le seul refuge est le cerveau : pour le garder froid, il faut le garder noir. Si se préserver du feu est un cours de ténèbres, Duolo est un maître excellent.

Duolo enseigne le soleil, qui se lève, et le vide, qui perdure. L'un comme l'autre ni ne cède ni ne recule : il ne faut pas le comprendre mais l'accepter. Voici la première règle ; apprendre le soleil, apprendre le vide. Apprendre que la terre est comme le cuir de l'homme et que tous deux peuvent survivre s'ils sont forts. À l'état de poussière, on est plus fort que tout.

Avant d'être poussière, Duolo était roc. Ce roc est d'abord passé entre les grilles, très grandes, de l'école, puis entre celles, plus petites, de l'armée, puis entre celles, très fines, de la prison. Ces tamis ont fait de Duolo une poudre de lui-même, une poudre qui explose, de celle qu'on jette aux yeux des assaillants pour les disperser, de celle qu'on jette au sol pour disparaître. La poudre a trouvé la force, puis a trouvé la rage, puis a laissé derrière son visage avant de s'envoler. La poudre qui s'envole est une fumée violente : avant d'être poussière, Duolo était roc. Et sur ce roc, il aurait bâti toutes les promesses auxquelles il croyait.

"Te souviens-tu, lorsque tu croyais aux mêmes choses que moi ?" Aujourd'hui, Duolo regarde les promesses d'antan comme on regarde passer le carnaval. Une mascarade joyeuse, menteuse, pleine de sucre et de déraison. Duolo regarde son fils, engeance reniée, il regarde ses erreurs, douleurs de cendre. Il regarde Alkar qui se brise en fragments, il regarde les gens et regarde les choses. Et il se dit que les heures, chaque jour, passent plus lentement.

Aujourd'hui, Duolo bâtit plutôt un empire. De métaux précieux, de sangs contraires, de démons impies arrachés à des cauchemars comme des tentures. Toute chose est monnayable, et on commerce même de son âme, si quelque part un homme porte sur ses épaules le prix de la chair et du secret. Si quelque part un homme garde son cerveau au plus profond du noir, dans un espace confiné à la glace et aux ténèbres, loin des chaleurs qui restent, qui demeurent, qui sont bien incapables de révéler son coeur.


1326, Hyène Rouge, entraînement de son fils à l'autodéfense.


« — Je n'ai pas peur de te faire mal.
— Peggio n’a pas peur d’avoir mal !


Le garçon acculé tremblait, mais pas de terreur.
Il avait le frisson tendu des chiens prêts à l'assaut.
De sa bouche entrouverte coulait un trait de sang noir. Il respirait fort, parcouru de spasmes, et dans ses yeux allumés comme des cierges brûlait la haine.

Duolo soupira. Il ne voyait que cela depuis quelques jours, la haine qui n'avait pas de fin.

Duolo a alimenté la haine. Celle des autres surtout. Il l'a frappée de toutes ses forces en voulant la réduire, mais à chaque fois elle revenait plus intense et vigoureuse.

La haine était un hydre. Un feu sans la forêt, sans la fumée. La haine était un désordre sans retour - un puits où il était tombé. Il n'y avait plus de seau pour le ramener en haut. En haut, on le regardait, depuis la margelle, avec pitié. Pas de la pitié méprisante. De la triste pitié, de la tendre pitié.
Il s’agrippait sur les parois en espérant sortir.
Il ne sortait jamais.

Duolo a alimenté la haine. La sienne aussi. Il lui a donné à manger et il l'a vue grossir. Il a pris sa tristesse pour abreuver son espoir, et il en a éclot une fleur du mal. C’est la fleur de ceux qui courent après la justice sans comprendre qu'elle n'existe pas.

Duolo est un instigateur de la haine. Duolo a couru après un rêve. Il s'est enivré d'un mensonge qui l'a rendu bête, violent, aveugle, comme tous les hommes. Comme tous les hommes il a rendu les coups et a déclaré la guerre.

— Peggio n’a pas peur. Un jour, Peggio vous tuera.

Il regarda son fils. Son seul, son atroce, son monstrueux enfant.
D’une main formée de haine, il sortit sa longue dague ouvragée. Dans sa lame se reflétaient les yeux juvéniles, allumés comme deux lampions d'enfer.

— Aucun homme né d’une femme ne peut m’abattre. »






1307, un an avant le début de la guerre Alka-shohienne.
Engagement dans l'infanterie militaire.


Son uniforme était toujours très propre. Lorsqu'il patrouillait en ville et fendait la foule, il prenait garde à ce que rien de sale ne le touche. À Cerberiath les gens pouvaient être très sales.

Cerberiath, il y était né. Il y avait vécu avec son père et sa mère jusqu'à ce qu'il soit un homme et qu'ils l'envoient s’engager. C’était l’armée ou le sanctuaire. Plus combatif que dévot, il choisit l’armée.

Duolo prit leurs expectatives sur les épaules. Leur poids dépassait celui du monde. Il avait trouvé son refuge dans la formation militaire, et puis aussi sa vocation. Avec la force et l’abnégation qui le caractérisaient, il n’aurait aucun mal à atteindre l’élite.

L'élite et puis l'uniforme.

Avec l'uniforme, Duolo a surtout connu la douleur.
Ou plutôt le lent, le léger lancinement, celui qui épuise et rend triste.
Ce n'était pas sa faute si les choses devenaient terribles. Son métier était dur. Les autres étaient fous, il était quelqu'un de normal. Les horreurs, il ne les commettait pas. Il n'était pas responsable : c'était les ordres. C'était au-dessus, il n'avait pas le choix.

Ce n'était pas vrai, il n'avait pas de sang sur les mains. Il avait des gants, les beaux gants blancs de l’armée qui se battait pour le peuple.

Tous les jours l'espoir s'amenuisait un peu. Duolo sentait le poids des choses. Il ne savait pas ce que le monde des autres était, mais le sien était un enfer. Son enfer, un enfer simple et personnel, où il brûlait seul. Il n'avait pas d’amour. Il avait peu d'amis. Il avait son travail. Son travail et ses idées de justice. Les pénuries brutales et l’insurrection le préoccupaient, il cherchait tous les jours des réponses. Contre la corruption, contre la désunion, contre le manque de tout. L’âme de son pays était rongée par un diable malin auquel il devait trouver, seul, comment tordre le cou.






1314, promotion au grade de commandant.


Les années passaient. Les factions se succédaient. Il obéissait à ses supérieurs. Il était parfois raillé pour son zèle et nargué pour sa dévotion ; il était parfois admiré pour sa ferveur. Duolo était lisse, et intègre, et ne mentait pas. Il n'était violent, ô combien violent, qu'avec les criminels.

Il détestait les criminels, les malfrats, les tueurs par-dessus tout. Mais à tous il vouait la même colère. Féroce, viscérale, aussi terrible qu’une tempête de sable dans le grand désert. L'ordre public était son or : il voulait que personne ne souffre. Il voulait protéger les gens. Les centaines, les milliers de gens. Les foules au dehors le rendaient si anxieux. Combien de criminels pour cent d’entre eux ? Combien de meurtriers pour mille d’entre eux ? Combien pour tous ? Il cherchait un nombre qui n’existait pas. Il ne pensait pas à se compter lui-même.

Il voulait que personne ne souffre. Il voulait que personne ne souffre.
Mais les criminels, les malfrats, les tueurs n'étaient personne.
Un jour, sa colère terrorisa même sa femme, qui partit avec sa promesse :
son enfant à naître.

La violence de Duolo inquiétait même ses supérieurs. Alors il devint le supérieur de ses supérieurs. Lorsqu'il saluait le colonel au retour d’une mission, le conolel détournait parfois les yeux. Lorsqu’il rendait son rapport aux chefs de division, ceux qui se moquaient de lui disparaissaient dans les ombres.
Dans les ombres disparaissait l'humanité de duolo.

Il se souvient des assauts. Il se souvient du front.
Il se souvient avoir été pire que les hommes, pire que les bêtes, pire que tous les êtres.






1318, nuit du massacre de la famille Lashkala.
Transmutation forcée de son fils Peggio, dans un état critique après un assaut, par un alchimiste détenu.


La lumière se souleva.
Elle remplit l’air de la chaumière et le convertit en une chaleur atroce.
Pendant un instant, elle sembla vivante. Et puis elle explosa. C’était un éclair rouge, absolument funeste, qui n’émit aucun bruit.

L’aube entra, désolante. Par la fenêtre ouverte s’insinua le souffle glacé et mourant des dernières secondes de nuit.

Les mains de Duolo, qui recouvraient son visage, tombèrent au devant de lui. Il regarda les deux corps qui gisaient sur le sol. D’abord celui de son fils, au centre du cercle de transmutation, puis celui, éloigné, de l’autre homme. Mais ce n’était plus un homme. Plus exactement.

« — Que s’est-il passé ? Parle. »

Il faisait encore sombre et ses oreilles étaient saturées d’un lent bourdonnement. Ses sens étaient brouillés, mais il pouvait parler.
Et il pouvait sentir.
Des tissus brûlés, nécrosés. Des chairs mortifiées, condamnées, qui tombaient en lambeaux.

Il semblait qu’un peu de l’enfer se soit répandu dans la pièce, soudain, comme le mauvais vin renversé sur la table d’une cène inconcevable.

Duolo couvrit à nouveau son visage. Il recula brutalement. À présent il pouvait voir ce que ce corps pas tout à fait humain réclamait aux premiers rayons du jour. Et à côté de ce corps-là, strié de lignes tracées par de longues cautères, un autre corps, un corps vicié. Abandonné de toute providence.

Il pouvait voir avec exactitude palpiter tous ses muscles, tous ses tendons, sa venaison. Ils tremblaient avec lenteur, avec douceur, presque.
Il n’y avait plus de peau. Il n’y avait même pas de sang.
Un long râle s’échappait du trou qui avait été la bouche de l’homme, de l’alchimiste. Un râle sans fin.

Les yeux de Duolo vacillèrent dans leurs orbites, convulsivement. Il resta paralysé quelques secondes avant de pouvoir bouger à nouveau, pris d’une pulsion.

Il prit son fils entre ses bras, et sans se retourner, sortit précipitamment.






1318, dénonciation par son fils aux autorités.
Emprisonnement temporaire avant prononciation de son exil.


Son compagnon de cellule était un vieil homme qui n'ouvrait jamais les yeux. Les rides sur sa peau traçaient des ravins de sagesse sur son visage. Duolo trouvait beaucoup de paix et de calme dans sa contemplation.
Ces rides étaient comme des tranchées. La vieillesse apportait au moins l’expérience : Duolo en était très jaloux.

À présent il avait tout son temps. Il n’avait plus que ça. Le temps, comme l’eau, apaisait la colère : il avait sa fluidité et son mouvement.

Duolo le passa à essayer de ranger les choses dans sa tête.
Étrangement, la haine n'était pas là.

Parfois il sentait suinter le long de ses doigts ce sang qui n'était pas à lui. Il priait Irimia, il exécutait les ordres, il n'était pas amer. Parce qu’il n’en avait pas le droit.

Le contact humain était ce que la réclusion lui avait pris de plus cher. Le temps égrené ne remplaçait ni les peaux, ni les mains, ni toutes ces choses que d’autres que lui auraient pu lui donner. Alors il y renonça.

Il renonça aussi aux hommes et à la justice. Il n’avait plus l’intention d’en faire la raison de sa vie. Les choses telles qu’il les connaissaient n’en valaient pas la peine, il valait mieux oublier, chercher ailleurs la rédemption.

Parfois il pensait à son fils. À sa place, l’aurait-il dénoncé ? Il n’en savait rien. Il avait tenté de le sauver, mais l’élan avait mené à la désolation. Dans son désarroi, il n’était pas prêt à l’aimer, ni à l’accepter. Il était entre le détachement et la contrition. Parfois il pensait à l’alchimiste sans peau -  était-il toujours vivant ? Il n’en savait rien. Il n’en savait rien. Parfois il pleurait.

Il ne pleurait pas ses années converties en poussière. Il pleurait la mort de ces inconnus. Tous ces inconnus, peut-être pères, mères, enfants, peut-être hommes comme lui qui cherchaient quelque chose.






1322, fin d'un bannissement de trois années au large du grand désert.


L’exil avait ses plaisirs et aussi ses longueurs.
Il était parti là où personne, ni dieu ni la terre, ne viendraient le chercher.

Le grand désert était un lieu de perdition où, le plus clair du temps, l’âme ne suivait pas le corps. Elle en sortait comme une vapeur et le regardait progresser un, deux jours, peut-être trois. S’il était suffisamment solide, il marchait quelques minutes. Mais face à la fournaise, même les plus solides s’effondraient.

Il avait pris sa retraite du monde. Il avait pris sa solitude.
Ce n’était pas un lieu, car elle pouvait être partout ; ce n’était pas une punition, car nul ne la donnait. C’était un état de l’esprit.

Armée ? Civils ? Alchimistes ? Vérité ? Il ne cherchait plus la justice promise comme un cadeau fait aux justes, mais les éléments d’un tout, les clés d’un équilibre absent.

Il avait trouvé son cloître, un cloître sans dieu, et l’écrasant mouvement des foules, des cris, des chansons humaines l’avaient lassé. Il se dessécha en une charogne maigre et silencieuse puis disparut dans le creux des dunes.

Les nuits et les jours le survolaient sans le deviner. Ni eau, ni nourriture. Pas de lumière - ses paupières étaient scellées d’une épaisse couche de cendre. Le temps passa sans s’arrêter, comme à son habitude. Le temps lui-même ne le soupçonnait plus.

Et puis un jour, quelque chose vint percer le silence de sa thébaïde. Quelque chose ouvrit l’épaisse membrane de poussière qui recouvrait son dos. Et le désert, dans sa forme la plus sacrée, lui apporta sa réponse.

Il était prêt au retour.






1327, mainmise officieuse et affermie sur le marché noir.


Il faut bien comprendre que le monde n’a pas besoin de toi.
Le savoir te propulsera sans doute à son sommet.
Car ce monde est idiot, et capricieux, et sublime. Empli de beautés étranges, de vérités ridicules dormant sous le fraisil. Rien de plus absurde ne pouvait le surprendre, il était certain d’avoir tout vu. Alors pour ne pas en voir plus, et pour que d’autres ne puissent le voir à leur tour, il porta un masque.

Le marché noir, comme le monde en somme, n’avait pas besoin de lui pour exister. Précisément pour cela il lui était indispensable. Car où terminent ceux qui croient compter, et comprendre, et qui se préoccupent, et qui lancent toute leur vie dans la construction d’un mensonge ?

Duolo n’avait plus le temps pour les mirages. Il n’avait plus toute la vie, il voulait du concret. Alors il pris un petit morceau de Cerberiath, sa ville, sa chair, dans le creux de sa paume. Et il n’ouvrit plus jamais le poing.

La tête pensante du cerbère l’épaulait discrètement. Mais elle savait comme lui que ce circuit était une machine parfaite, sans huile ni rouages, qui tournait de sa seule volonté.

La contrebande était une réponse amusante aux grands dirigeants qui pensaient pouvoir vaincre toute forme de belligérance. Il buvait parfois un verre à la mémoire du temps où il était l’un des leurs. Recel, resquilles, rapines, violences ; que faisaient ses frères si ce n’était des écus, comme ceux qui les tenaient en joue depuis les hautes sphères du gouvernement ? Les hautes sphères n'étaient pas à portée de tir. Il fallait les ronger autrement.

Maintenant Duolo n’apparait qu’aux marcheurs qui ne le cherchent pas, chinant des fruits rares ou des lames de collection. Depuis les hautes toitures, il regarde les bagages, et les lourdes tentures, il regarde un empire sous cape où on vend des objets, des vies et des prénoms. Et le sien se murmure comme une mauvaise nouvelle, un soupir qui meurt entre les ombres.


je suis une compote à la poire,
je suis en plein examens et ne devrait pas jouer avec le feu mais vous brillez malgré toute cette obscurité !


Vincent Campbell
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holà chicas
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Chancelier
Vincent Campbell


Mer 14 Fév - 23:58
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ce code, cette classe, ce wow.
il me tarde de voir cette fiche complète my god.
hell hell hell
COURAGE.

ps : par contre, je viens de le voir, mais ça déforme étrangement le forum. motherofgod

Séraphina Rosenthiel
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Séraphina Rosenthiel


Jeu 15 Fév - 0:37
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Oh mon dieu ; ce code ; doux jésus il est sublime.
Il a un petit air de Trafalgar Law ton monsieur, cela fait chavirer mon petit coeur (la barbichette qui veut ça hhh)
Mais j'ai hâte de voir cette fiche terminé ; parce que le début vend déjà du rêve.
Du coup courage & bienvenuuuue ! ♥️

Yaoming
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holà chicas
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Yaoming


Jeu 15 Fév - 9:06
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j'hyperventile devant ta fiche

Tempête
Konigreich
holà chicas
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Konigreich
Tempête


Jeu 15 Fév - 12:25
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J'ai vu ta fiche ce matin et elle a capté mon attention, parce qu'un chef du marché noir, ça m'intéresse beaucoup. Mais ce début ??? Je suis absolument amoureux de Duolo et de ta plume. Je te vends mon âme quand tu veux.
Bienvenue. carlos

La Vérité
Votre Dieu
le silence éternel de ces espaces infinis Dp0t
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Votre Dieu
La Vérité


Dim 18 Fév - 17:59
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duolingo
pour mieux connaître l'anglais
hell  hell  hell
Ah, Duolo, quelle hâte nous avions de lire ta fiche, mais la récompense n'est que meilleure avec la petite pépite que nous avons là. On voit que tu as pris le temps de lire toutes les annexes ainsi que des catégories, ça ne rend que plus réaliste ton histoire et ton personnage.

Déjà parlons de ton style, je me suis délectée de tes mots, de tes phrases - pas seulement moi d'ailleurs,
les autres admins sont dans le même état - et je ne pouvais qu'apprécier, non adorer, la lecture de ta fiche, de ton histoire, un véritable plaisir. Tu as une façon d'écrire vraiment magnifique, je pourrais pendre des heures à te dire que tes mots m'ont transporté, mais je ne pense pas que cela soit utile de ne parler que de cette splendide plume que tu nous offres.
omg  omg

Alors, parlons un peu de Duolo, ce personnage me renverse, me bouleverse, me retourne et m'écrase.
Il est n'arrête pas d'évoluer au fil de son histoire, dans un premier temps membre de l'Armée, qui désire protéger son peuple mais qui est en même temps l'un des plus violents soldats, avant de vouloir sauver son fils, d'une manière passablement horrible. Vraiment, son histoire me scotche sur place, son exil, son retour, son rôle.

J'aime Duolo.

Alors c'est avec joie que je te valide, je te souhaite la bienvenue sur Acclamatis avec énormément de plaisir.
hughesfdj  hughesfdj
colgate

félicitations
Avant toute chose, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, ainsi que ton alchimie au besoin. Tu seras ensuite libre de créer des liens avec les autres, de même que faire une demande de rp.

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